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Chapitre inédit pour la Grande Confrérie du Cassoulet de Castelnaudary, avec le RCR

Publié il y a 5 ans par

Chapitre inédit pour la Grande Confrérie du Cassoulet de Castelnaudary, avec le RCR

Les partenaires du Rugby Club Revélois organisaient une grande soirée, le jeudi 7 février, à la salle Claude Nougaro, avec la Grande Confrérie du Cassoulet de Castelnaudary.

228, c’était le nombre de convives présents et 228, c’est aussi le nombre de partenaires du RCR, entreprises comme commerçants ou artisans. À cette occasion, la Confrérie tenait un Chapitre au cours duquel, des personnalités revéloises étaient intronisées par le Grand Maître, Jean-Louis Malé et Laurent Spanghero : Ludovic Gatti dirigeant l’entreprise Sigma et président du Medef du Tarn ; Michel Ferret, géomètre-expert, ancien président du RCR et adjoint au maire en charge de l’urbanisme ; Patrick Lamothe des Canards de la Montagne Noire à Vaudreuille ; Delphine Dumenier-Gros, directrice de l’agence du Crédit Mutuel de Revel. Cette dernière remettait d’ailleurs un chèque de 1500 € au président du RCR, Marc Bénézeth, pour l’achat d’un jeu de protège-poteaux. Cette cérémonie était suivie d'un repas avec foie gras de la Montagne Noire, cassoulet de Philippe Solovieff de «La Calèche» à Peyrens et cassoulet glacé de Brigitte et Jean-Pierre Bonnafous. On pouvait retrouver des entrepreneurs revélois, l’Ardiac, mais aussi des entreprises tarnaises comme le partenaire principal de la soirée, Mercedes à Castres. « C’est la première fois que nous faisons un Chapitre à Revel et dans une aussi belle salle. C’est à l’initiative de Michel Koelh et Jean-Yves Pradier », soulignait le Grand Maître, Jean-Louis Malé. La Grande Confrérie a pour objet de servir le prestige, de diffuser et de défendre la renommée du Cassoulet de Castelnaudary, en veillant au respect des traditions et de la qualité. « Pour la petite histoire, il faut savoir que le cassoulet est le premier plat cuisiné français. Il s'en produit 85 000 tonnes par an, dont 23 000 tonnes de haut de gamme. 95 % de ces 23 000 tonnes haut de gamme sont faites à Castelnaudary».

De Peyrens au Japon.

Après un coup de fil, Philippe Solovieff recevait une délégation de la société Hankyu à Osaka, trois mois plus tard. « Ils m’ont dit qu’ils allaient maintenant goûter le cassoulet à Toulouse. Je ne me faisais pas de souci parce que le meilleur cassoulet est celui de Castelnaudary. Effectivement, ils m’ont appelé trois semaines après et m’ont invité au Japon. Je n’avais jamais travaillé avec 25 personnes dans une cuisine de 12 m2. La télévision est venue et une heure après, le restaurant était plein. Nous avons fait 3000 cassoulets en dix jours. Ils m’ont invité 10 jours de plus un an après. Ils avaient reconstruit mon restaurant de Peyrens à l’identique, dans leur gros centre commercial d’Osaka. Même couleur, même tapisserie, même mobilier, même agencement … », confiait-il.

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Chapitre de la Grande Confrérie du Cassoulet de Castelnaudary, avec les partenaires du RCR.

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